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Bâtir et rénover à l’ère du CAP 2050 : comment les entreprises de services s’adaptent aux nouveaux défis du bâtiment

Christian VERDIER
6/5/2025
5 min read

Sobriété énergétique, résilience climatique, efficacité des ressources, pilotage temps réel… Ces concepts ne sont plus réservés aux bureaux d'études techniques. Ils redéfinissent en profondeur les méthodes de travail de toutes les entreprises de services liées au bâtiment : cabinets d'ingénierie, sociétés de conseil, agences d'architecture.

Avec l’entrée dans la décennie critique du CAP 2050 et l’accélération des réglementations (RE2020, décret tertiaire, exigences carbone), le modèle économique des projets évolue vite. Le salon EnerJ-meeting 2025 le confirme : la transformation du bâtiment passe aussi par la transformation des outils, des process et de la gestion interne.

De nouveaux défis pour les entreprises de services dans le bâtiment

Le secteur ne peut plus fonctionner avec des méthodes "à l’ancienne" :

  • Projets de plus en plus complexes, multi-intervenants

  • Réduction des marges, exigence de performance mesurable

  • Pression réglementaire (RE2020, taxonomie verte, décret BACS…)

  • Mobilité accrue des équipes et gestion multi-sites

Les BET et sociétés d’ingénierie sont particulièrement exposées : un suivi flou des temps, une facturation déconnectée du réel, ou une vision morcelée des projets peuvent coûter très cher, au sens propre comme au sens écologique.

Centralisation, traçabilité, mobilité : les piliers de l’efficacité

Pour répondre à ces exigences, les outils de pilotage deviennent stratégiques. On ne parle plus seulement d’Excel ou d’un logiciel RH : il faut aujourd’hui une plateforme de gestion intégrée, capable de :

  • Suivre en temps réel la rentabilité des projets

  • Connecter données RH, financières, opérationnelles et réglementaires

  • Offrir une visibilité claire aux chefs de projets… même sur le terrain

Exemple : structurer pour mieux rénover

Prenons un exemple courant : un BET engagé dans la rénovation énergétique de bâtiments tertiaires dans le cadre du décret éponyme.
S’il ne suit pas précisément :

  • les temps passés par mission,

  • les coûts d’achat, de sous-traitance,

  • les jalons pour facturer à l’avancement,

  • les ressources mobilisées…

… il perd de la rentabilité, du temps, et souvent de la donnée utile pour le bilan carbone ou la certification.

C’est ici que l’ERP spécialisé bâtiment prend tout son sens : non pas pour tout complexifier, mais pour unifier, fluidifier et structurer la donnée utile.

Karanext : une plateforme conçue pour les acteurs du bâtiment en transition

Chez Karanext, nous accompagnons déjà de nombreux bureaux d'études, sociétés d’ingénierie et agences d’architecture dans cette transition. Notre ERP permet de :

  • Gérer les projets au forfait ou en régie, avec visibilité sur les marges

  • Suivre les temps et les coûts, en mobilité ou au bureau

  • Automatiser la facturation, même à l’avancement

  • Intégrer les modules RH, demandes de congés, contrats, notes de frais


Conclusion

Le secteur du bâtiment se transforme à grande vitesse, et ce sont les acteurs invisibles, les entreprises de services en coulisse, qui doivent aussi se moderniser.
EnerJ-meeting 2025 montre la voie : sans structuration, il n’y aura ni sobriété, ni performance durable.

Et vous, êtes-vous prêts à structurer vos outils autant que vos projets ?

👉 Découvrez Karanext pour les BET et les acteurs du bâtiment

Ou rejoignez nous sur EnerJ meeting Nantes le 9 septembre prochain !

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